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commentaire(s) publié(s) par Colette St-Hilaire

5 commentaires postés

04/03/2023 - Dans Le Film - Delphine Seyrig, en constructions

Bravo pour cet entretien fabuleux sur Delphine Seyrig! Bravo à l’auteur et à l’animatrice.

Colette St-Hilaire
Montréal

posté le 04/03/2023 à 23h45

02/07/2022 - Dans le Texte - Le spectre woke

Je vais lire avec intérêt les références fournies. Je regrette que la discussion ait dévié de son objet. J'ai l'impression de ne pas en avoir appris beaucoup sur le contenu du livre de l'invité. Mais je peux le lire !
Colette St-Hilaire
Montréal

posté le 24/07/2022 à 20h17

03/07/2021 - Dans le Texte - Le choix de la guerre civile

Merci pour cet entretien passionnant et éclairant !


Colette St-Hilaire
Montréal

posté le 05/07/2021 à 01h10

20/10/2018 - Dans le Texte - La Condition anarchique

Merci encore une fois. Je me régale de ces entretiens menés avec passion, respect et rigueur. Votre questionnement sur les enjeux politiques d'une philosophie du «rien» m'a intéressée. Je me suis longuement interrogée dans le passé sur la possibilité d'un féminisme sans sujet. C'est-à-dire comment être féministe si on présume que l'identité féminine ne repose sur aucune substance ? J'ai trouvé une première réponse chez Judith Butler, des son classique Gender Trouble. Mais je crois que le texte le plus passionnant reste celui de Françoise Collin « Notes sur le tragique du sujet» paru dans les Cahiers de Grif, en 1992 je crois. Collin y expose le tragique du sujet qui doit s'affirmer et prendre la parole sur la place publique à partir d'une identité qui n'existe pas (femme, ouvrier, etc.). Et elle critique la tendance qu'ont les opprimés à se prendre pour des dieux et à oublier la précarité de leur fondement.

Colette St-Hilaire
Abonnée de Montréal

posté le 24/10/2018 à 20h00

27/01/2018 - Aux Sources - Des vies inégales

Je viens de regarder l'entretien avec Didier Fassin. Ce qu'il dit de la France vaut pour le Québec. Dans les années 70, nous avons accueilli à bras ouverts les Chiliens, puis les boat people, ensuite les Salvadoriens et les Guatémaltèques. L'année dernière, au contraire, l'arrivée d'à peine 10,000 Haitiens, chassés par les politiques de Trump, a provoqué une levée de boucliers. On se dit «envahis», alors que ces réfugiés parlent français et ne demandent pas mieux que de venir consolider le fait français au Québec !

Encore une fois merci de nous donner accès à des chercheurs et des penseurs de la trempe de Didier Fassin.

Colette St-HIlaire
Abonnée du Québec

posté le 04/02/2018 à 23h48