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commentaire(s) publié(s) par Maja

10 commentaires postés

11/02/2017 - Aux Sources - To vote or not to vote

@morvandiaux : merci pour votre commentaire, je respecte votre défense du vote et des élections mais par contre je trouve assez désolantes vos attaques (pour ne pas dire insultes) envers Antoine Buéno. Absolument rien dans son discours ni dans son livre ne permet de le mettre à l'extrême-droite (quant à être une marionnette de Bayrou pardonnez moi mais l'image de François Bayrou tirant les ficelles d'un complot abstentionniste visant à faire élire Marine Lepen me fait...disons... sourire.Traiter ceux qui ne pensent pas comme vous de suppôts du fascisme me parait être une conception plutôt étrange de la démocratie et de la liberté d'expression que vous semblez pourtant chérir. Des abstentionnistes il y en a de tous les bords et plutôt que de les pourrir avec des arguments moraux on pourrait juste essayer de parler calmement et rationnellement du pour et du contre. Bien à vous Maja

posté le 13/02/2017 à 19h03

06/02/2016 - En accès libre - Pour un suicide des intellectuels

Cher Jérôme
Pardonnez moi je suis confuse et honteuse!
En plus, je me suis rendue compte assez vite que c'était vraiment pourri comme opposition puisque dans les deux cas on travaille la matière pour créer une pièce et que l'une comme l'autre était des activités assez fascinantes à observer (c'est comme un tour de potier, je peux regarder ça pendant des heures!). Encore toutes mes excuses...

Bien à vous
Maja

posté le 12/02/2016 à 16h15

06/06/2015 - Aux Sources - Une question de taille

Cher Faab
Deux réponses à votre commentaire
- sur la communauté d'atmosphère avec Bricmont: je crois que vous faites fausse route. Il serait plutôt à l'opposé sur bien des thèmes. Hormis leur détestation commune du néolibéralisme, ils auraient, je pense beaucoup de points de désaccord. Bricmont est un défenseur de la rationalité scientifique qui n'a que peu de sympathie envers la religion. En revanche, pour Olivier Rey, vouloir liquider la religion au nom de la raison est absurde car il estime que la raison repose sur la religion. Idem pour l'importance de la tradition dont j'imagine qu'ils ont des conceptions assez différentes. Mais je ne voudrais pas donner l'impression que leur désaccord se réduit à une opposition simpliste entre "lumières et obscurantisme" ou "tradition et progrès", ça ne serait leur faire honneur ni à l'un ni à l'autre. J'en profite pour répondre à YG sur la religiosité d'Illich que nous n'avons pas abordée dans la discussion (même si Olivier Rey a longuement rappelé le parcours ecclésiastique d'Illich). Même s'il était religieux, Illich ne pensait pas "à partir de la religion". Il n'argumentait pas depuis la religion, même si elle ne peut évidemment pas avoir été sans influence sur sa pensée.

- j'en viens donc à "comment s'effectue le choix des invités"? Non il n'y a pas de ligne éditoriale commune définie à Hors-Série. Chacune fait comme elle le sent en fonction de ce qui lui fait envie (mais vous me permettrez de ne pas utiliser le mot "orientation" que je trouve un poil "orienté").

Bien à vous
Maja

posté le 29/06/2015 à 14h12

22/11/2014 - Aux Sources - Les Nouveaux rouges-bruns

Cher Ali et chers tous les autres
j'avoue être un peu débordée en ce moment et ne pas avoir tellement le temps de suivre ou de répondre. Donc un grand merci pour votre soutien et vos encouragements. C'est vrai que ça fait du bien. merci aussi pour les critiques constructives elles font également leur chemin.
Bref c'est drôlement sympa de vus arrêtez ici de de donner votre avis.
Bien à vous
Maja

posté le 10/12/2014 à 21h54

22/11/2014 - Aux Sources - Les Nouveaux rouges-bruns


Quelques mots à propos de l'émission qu'ASI a consacré à Amselle et aux rouges-bruns.

Je n'ai pas regardé cette émission. Et à vrai dire, je ne crois pas que je la regarderai un jour, parce qu'en fait, ils ont sacrément raison: il faut absolument éviter de s'intoxiquer la tête avec des débats confus !
Alors évidemment, j'ai quand même lu les commentaires.
M. Amselle, qui est décidemment un homme charmant, aurait déclaré que je trouvais Soral « intéressant ». Judith a déjà répondu, mais bon, je me dis que vu l'ambiance actuelle, il n'est peut-être pas inutile d'en rajouter une couche (même si je vous l'avoue, rien que l'idée de devoir me justifier là-dessus et, de ce fait, donner le début d'un commencement de légitimité à ce que dit ce monsieur me fiche la nausée). Donc non, rien ne me séduit chez Soral (et là j'atteins mon point d'incompétence parce que je ne crois pas avoir réussi à regarder une seule de ses vidéos en entier). Il m'est certainement arrivé de lire des choses « intéressantes » sur son site, mais le fait est qu'on y trouve de tout, même des chroniques d'un certain Daniel Schneidermann. Le pire comme le meilleur, donc.
(Dois-je préciser que je vais sur son site pour le boulot, comme je vais voir - dans le désordre et sans les mettre sur le même plan, Fdesouche, l'Opinion, Le Figaro, Libé, le Monde voire le Nouvel obs ! Non, évidemment c'est pas la peine de préciser...ah si ? Ah, bon, d'accord, très bien.)

Ceci dit, que quelqu'un qui parle dans son livre « d'entrepreneurs » d'ethnicité et de « buisiness » à propos du Crif, viennent donner des leçons de « cordon sanitaire » à tout le monde, je trouve ça quand même un peu fort de café. Il a le droit de le penser, et de le dire évidemment, mais il pourrait peut-être s'abstenir d'accuser les uns et les autres d'apporter de l'eau au moulin, du grain à moudre, du carburant au moteur, des pièces dans machines, etc, etc, des « confusionnistes ». Dans le genre « confus », je crois que j'ai rarement vu pire.

S'agissant d'ASI, ou plutôt de Daniel, que dire ? Rien. je crois que ça vaut mieux.



posté le 07/12/2014 à 22h01

25/10/2014 - En accès libre - Les Etats désunis

@ Christine Gérard et Alain
Vous me trouvez bien triste de vous avoir déçu ( et pire carrément endormis !) par manque d humour et de spontanéité ! Je vous avoue que je me pose moi-même la question du ton juste dans ce genre d'exercice. Comme l'a très bien dit Raphael, il est difficile d avoir le même ton face à André Wilms et Jean Bricmont ( pas en raison de leur personnalité mais du sujet traité, bien entendu ) Je crois que je ne veux pas donner l'impression de traiter le sujet par dessus la jambe ou avec trop de légèreté. Je pense également que, peut-être, ce dispositif un peu plus "rigide" ( mais qui, vous le concèderez, a considérablement amélioré la qualité de l image et du son ) me donne moins l occasion de "déconner" ou d'improviser avec ce que j ai autour de moi comme je pouvais le faire avant. Bref, je vais essayer de faire mieux et de réintroduire un peu de poilade dans tout ça histoire de tenir Christine éveillée ;)!
Ps @ Cyrill et Lefayot : ne vous dérangez pas pour nous continuez vos discussions point to point (?) celle que vous avez engagée sur la langue commune me paraît tout à fait passionnante ;)!
Merci à tous pour vos commentaires !

posté le 27/10/2014 à 19h44 ( modifié le 27/10/2014 à 19h47 )

27/09/2014 - Aux Sources - Pressions et expression

@Lefayot

Permettez que je vous réponde rapidement (je laisse Judith se reposer un peu, elle a été suffisamment "méprisante" comme ça en répondant à vous et aux autres ici et là bas...). Par ailleurs, désolée d’avoir un peu tardé, n’y voyez surtout pas de mépris, juste un emploi du temps un peu compliqué (en même temps, il me semble qu’on a mis au moins 24h à répondre à Daniel donc ça devrait aller, non ?)

Je commencerais par préciser qu'évidemment tout ceci est exposé de manière beaucoup plus précise dans le livre de M.Bricmont que vous finirez peut-être par lire.

Vous expliquez ne pas avoir connaissance des déclarations pour lesquelles B.Gollnisch a été poursuivi (et pas condamné puisque in fine la cour de cassation a estimé que les propos tenus ne pouvaient être assimilés à du négationisme). C’est effectivement embêtant lorsqu’il s’agit de déterminer si dans son cas les poursuites sont justifiées ou pas, et si ses énoncés sont moins acceptables (ou moins illégaux) que ceux des historiens évoqués par Bricmont.
Pour vous faire une idée, je vous conseille de regarder ce sujet du JT de France 3 de l'époque. https://www.youtube.com/watch?v=uqFBpeuiDcU
Vous admettrez au passage que le "essentiellement" employé par Bricmont n'avait pas tout à fait le caractère comique que vous lui accordez...
Sinon l'affaire est exposée plus en détails sur Wikipédia http://fr.wikipedia.org/wiki/Affaire_des_propos_de_Bruno_Gollnisch_d%27octobre_2004
Donc pour qu’on les ait sous les yeux : reprenons les ici (je précise comme le fait Bricmont dans son livre que les propos n’ayant pas été enregistrés, leur retranscription diffère quelque peu selon le journal qui les rapporte)

« Je ne remets pas en cause l'existence des camps de concentration, il y a eu des déportations pour des raisons raciales sans doute des centaines de milliers ou millions de personnes exterminées. Le nombre effectif des morts, 50 ans après les faits, les historiens pourraient en discuter. Moi je ne nie pas les chambres à gaz homicides mais la discussion doit rester libre. L'existence des chambres à gaz c’est aux historiens d'en discuter ».


Regardons maintenant les déclarations de Pressac dans l'interview citée par Bricmont (elle se trouve en annexe de livre de V.Igounet « Histoire du négationnisme en France » Seuil, 2000), où il n’est pas seulement question du ZyklonB :

Igounet : Selon vous, faire évoluer l'histoire de la période 1940-1945 est toujours actuellement impossible ?

Pressac : Sur des points mineurs, tout est possible ou, mieux, permis. Mais lorsqu'on touche aux grandes questions ou aux affaires délicates, rien ne va plus. Soit une autorisation officielle gouvernementale ou d'une autorité «reconnue» sera nécessaire, soit la publication d'un résultat sera acceptée, mais le résultat en lui-même ne le sera pas et restera lettre morte, soit enfin le texte tombera sous le coup d'une mesure d'interdiction telle la loi Gayssot en France visant à réprimer la contestation de «l'existence des crimes contre l'humanité sanctionnés par une juridiction française ou internationale». Cette imbécillité réactionnaire communiste votée par une majorité de députés soi-disants «progressistes» ne pourra encadrer politiquement l'histoire encore très longtemps, parce que les acquis historiques ne sont pas fixés pour l'éternité et fluctuent en fonction des décisions politiques, des documents retrouvés ou d'enquêtes de recoupements inattaquables.


ou là

« A l'occasion du cinquantième anniversaire de la libération des camps, un livre
souvenir sur la déportation fut publié par Marcel Ruby évoquant dix-huit camps de concentration et d'extermination. RUBY ne se fonde que sur les historiques déjà publiés et n'a pas entrepris de recherches dans les archives. Je ne retiendrai de son travail que les chiffres des victimes cités. Pour Dachau, 70.000 alors que le musée du site donne environ 30.000. Natzweiler-Struthof en aurait provoqué 11.000, chiffre donné par le comité d'entretien du camp au mépris de la réalité, proche de 2 à 3.000. »

« Pour les camps d'extermination, Ruby se réfugie derrière Hilberg «dont les travaux font autorité». Les chiffres de Hilberg proviennent de sources polonaises qui n'ont jamais été corrigés depuis 1950. Mais en 1990, les Polonais déclarèrent ces chiffres «émotionnels», parce qu'établis sous le choc de l'ouverture ou de la découverte des camps de la mort et, mais sans s'en vanter, durant la période stalinienne. Ce système, consistant à s'abriter derrière l'autre, devient dangereux dès que le premier de la file se retire. J'ai essayé de cerner le nombre de victimes des camps dits d'extermination sur des bases matérielles: surface de la chambre à gaz et quantité de personnes pouvant y tenir, temps d'un gazage, nombre de gazages quotidiens, nombre de convois arrivant par jour en fonction des capacités réelles des chambres, etc. Par rapport à ceux de Hilberg, empruntés aux Polonais, voici les chiffres que j'obtiens. Chelmno: de 80 à 85.000 au lieu de 150.000; Belzec: de 100 à 150.000 au lieu de 550.000; Sobibor: de 30 à 35.000 au lieu de 200.000, Treblinka: de 200 à 250.000 au lieu de 750.000; Maïdanek: moins de 100.000 au lieu de 360.000. En fait, Ruby, tout en se targuant de
l'autorité de Hilberg, ne tient pas compte de ses rectifications - mineures - des chiffres polonais et produit ces derniers dans leur exagération d'origine. Le coefficient multiplicateur émotionnel varie de 2 à 7 et est en moyenne de 4 à 5. Cette moyenne s'applique parfaitement à Auschwitz. »

ou bien ici
« Dans le cas de ce complexe concentrationnaire, dès 1945, les SS ont reconnu qu'ils avaient perdu toute notion du nombre de morts, parce qu'il y en avait trop pour que l'esprit humain puisse le concevoir. Quant aux anciens détenus, leurs chiffres sont le fruit de rumeurs d'époque amplifiées par leur imaginaire. Les acteurs du drame sont incapables de fournir le moindre chiffre valable, aussi bien les SS débordés par la mortalité épidémique et par celle qu'ils provoquaient que les détenus faute d'information concrète. Seuls les historiens peuvent tenter d'obtenir un ordre de grandeur chiffré sûr. Le chiffre de quatre millions de victimes, fixé après la guerre après négociations entre les responsables communistes soviétiques et polonais, est de propagande et sans fondement historique ».

Ou encore là…

« Quant au massacre des juifs, plusieurs notions fondamentales doivent être entièrement reprises. Les chiffres avancés sont à revoir de fond en comble. Le terme «génocide» ne convient plus. Des 1961, HILBERG employait le mot «destruction» dans le titre de son livre. Il faut abandonner le concept d'une extermination systématique programmée dès l'origine. Il eut plutôt une radicalisation progressive, imposée par la guerre qui elle-même exacerbait l'antisémitisme violent de Hitler et de son entourage direct. Des mesures de plus en plus coercitives, de plus en plus drastiques, furent élaborées et appliquées pour aboutir en avril 1942 au «massacre de masse». »



Voilà, j’imagine qu’il s’agit là encore pour vous d’évidences mais vous comprendrez que je puisse me demander en vertu de quels critères ces propos n’ont pas été jugés dignes des mêmes poursuites que les déclarations de Gollnisch…


Je terminerais en citant encore une fois M.Bricmont qui dans une réponse à Faurisson (ce dernier lui reprochait sa « soumission à la vérité officielle ») expliquait :

« En ce qui concerne le fond, je note un point commun entre certains de vos partisans et de vos adversaires: l'idée que l'existence des chambres à gaz est d'une importance capitale. Pour vos adversaires, soit parce qu'ils pensent que rien de moins net ne leur permettrait de "haïr" le nazisme, soit parce qu'ils utilisent les chambres à gaz comme arme d'intimidation massive au service de certaines causes politiques. Je rejette ces deux façons de procéder; en particulier, je rejette la notion de culpabilité collective (même pour les Allemands en 1945). De plus, l'idée qu'une telle culpabilité soit transmissible aux descendants est carrément religieuse. »
En ce qui me concerne, ce n'est pas par sympathie pour des régimes où serait censurée (par exemple) la "physique juive" (celle d'Einstein) que j'objecte à la censure qui vous frappe. Même remarque en ce qui concerne les régimes religieux, chrétiens ou musulmans, où je ne pourrais sûrement pas dire ce que je pense des religions. La liberté d'expression, je la défends aussi pour les athées, les homosexuels, et les "sionistes", réels ou supposés. Vous me direz sans doute que tout cela n'a rien à voir avec les chambres à gaz. Bien sûr, mais c'est exactement ce que je veux souligner: rien dans la France actuelle n'a, en réalité, quoi que ce soit à voir avec les chambres à gaz, Hitler ou le nazisme. »

J’espère donc que vous me permettrez maintenant cher Lefayot de passer à autre chose !

posté le 03/10/2014 à 00h03

27/09/2014 - Aux Sources - Pressions et expression


@Lesly_75: pardon de vous le faire remarquer mais le lien auquel vous renvoyez qui serait selon vous un entretien accordé au site ER, est précisemment un entretien accordé au site "arrêt sur info" de Sylvia Cattori (journaliste suisse dont voici la présentation http://www.silviacattori.net/spip.php?article1) . C'est marqué en grand au début mais bon, vous l'avez sans doute raté...L'entretien a été repris par ER ce dont Jean Bricmont n'est pas responsable. C'est justement ce qu'il explique au début de notre entretien.
Par contre il a accordé celui-là. http://www.egaliteetreconciliation.fr/Entretien-avec-Jean-Bricmont-sur-l-actualite-internationale-et-la-liberte-d-expression-27808.html
Mais c'est aussi quelque chose dont il s'explique lors de notre entretien. Que vous n'avez peut-être pas regarder en fait.

@MP désolée de vous avoir donné cet impression, j'ai pour ma part essayé de préparer au mieux l'entretien mais évidemment j'aurai pu faire encore plus et mieux. En passant Françoise Chandernagor n'est effectivement pas historienne mais il se trouve qu'elle est la vice-présidente de l'association "liberté pour l'histoire" ce qui lui donne tout de même une petite légitimité pour parler du sujet. Mais j'admets que dans mon commentaire ce n'était pas clair. Désolée donc.
Quant à la réponse à Daniel, elle viendra évidemment. J'attends simplement que Judith trouve un peu de temps. Ceci dit, ce n'est pas plus mal, ça me laissera le temps de bien me "préparer" cette fois.

posté le 30/09/2014 à 23h22

27/09/2014 - Aux Sources - Pressions et expression

erratum:
Contrairement à ce que dit Jean Bricmont, Robert Badinter, qui condamne les lois mémorielles, ne s'attaque pas à la loi Gayssot qui selon lui fait exception. Selon lui, ce texte ne "condamne" pas l'histoire en recourant au langage pénal, mais réprime des propos niant certes l'existence de faits historiques, mais déjà revêtus de la chose jugée.Vous trouverez plus de précisions dans cette intervention publiée par le site de l'association "liberté pour l'histoire" qui regroupe les historiens opposés aux lois mémorielles.

http://www.lph-asso.fr/index.php?option=com_content&view=article&id=182%3A-intervention-de-robert-badinter-a-lassemblee-generale-de-liberte-pour-lhistoire-2-juin-2012&catid=53%3Aactualites&Itemid=170&lang=fr

Précisons également que la position de Robert Badinter n'est pas partagée par l'ensemble des historiens. Parmi eux certains s'inquiètent du caractère trop vague du délit de "contestation" de crime contre l'humanité. Ainsi Françoise Chandernagor estime que dans "contestation" il y a "discussion" et que cela constitue une limitation grave de la liberté des historiens. Les débats sont à lire ici:
http://www.lph-asso.fr/index.php?option=com_content&view=category&layout=blog&id=15&Itemid=27&lang=fr

posté le 29/09/2014 à 14h59

27/09/2014 - Aux Sources - Pressions et expression

une référence qui pourrait être utile à la compréhension générale: Jean Bricmont explique au tout début de son intervention que les accusations d'antisémitisme dont il fait l'objet sont dues au fait qu'il soutient la thèse exposée par les deux universitaires américains John J. Mearsheimer et Stephen M. Walt dans leur livre "Le lobby pro-israélien et la politique étrangère des Etats-Unis" (2007) qui est paru en France aux éditions de la Découverte en 2009.
(http://www.editionsladecouverte.fr/catalogue/index-Le_lobby_pro_israelien_et_la_politique_etrangere_americaine-9782707157010.html)
Le livre avait fait l'objet de nombreuses discussions et articles (surtout dans la presse anglo-saxonne d'ailleurs) lors de sa sortie.


posté le 27/09/2014 à 15h11