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commentaire(s) publié(s) par PM2046

5 commentaires postés

30/07/2022 - Dans Le Film - Le Parrain (part. 2) : l'horreur du pouvoir

Dommage que vous passiez si vite sur la séquence de décembre 1941. C'est une très belle scène, très émouvante et extrêmement dense:
- les entrées / apparitions, comme des fantômes
- le vide qui se créée, avec les sorties / disparitions successives de Carlo, Connie, Tessio, Fredo, Tom (et Sonny mais qui a disparu sur un autre mode); (il manque Kay et Appolonia)
- les rapports entre Sonny, Connie et Carlo : Sonny, entremetteur, présente son ami (son double affadi ?) à sa soeur, se place entre Connie et Carlo (au moment du gâteau), et parle à Connie d'une façon qui préfigurent le comportement de Carlo vis-à-vis d'elle
- les caractérisations des personnages en quelques traits: Sonny colérique, irréfléchi, immature; Connie soumise; Carlo fade et faible; Tessio si agréable; Tom réfléchi et calculateur; Mike indépendant, décidé, cohérent; et peut-être surtout, le plus poignant, Fredo qui félicite Mike
- les projets de Mike finalement abandonnés après qu'il a décidé d'être aux côtés de son père mis à terre
- la solitude de MIKE

posté le 30/07/2022 à 21h52

30/07/2022 - Dans Le Film - Le Parrain (part. 2) : l'horreur du pouvoir

Pourriez-vous nous donner la référence au texte de S Daney. Celle qui figure à 1h25 (La Maison Cinéma et le Monde / 3. Libé 1986-1991) n'est pas la bonne. Merci

posté le 30/07/2022 à 21h18

30/07/2022 - Dans Le Film - Le Parrain (part. 2) : l'horreur du pouvoir

A la 23e ou 24e minute, une jolie confusion dans l'encart : Eliot Ness (en titre de la légnde) est confondu avec Al Capone (sur la photo et la légende).

posté le 30/07/2022 à 15h27

01/11/2014 - En accès libre - L'œil qui programme

Nouvel abonné, je vois cette vidéo plusieurs années après sa réalisation. Et après avoir vu celle avec Laurent Juiller, où la présentatrice n'avait laissé aucun moyen à son invité d'exprimer son point de vue.
Elle en remet une couche ici par quelques piques médiocres qui montrent
1/ que l'on peut être "cinéphile" et mesquine
2/ l'érudition est appréciable jusqu'au point où elle n'exprime pas un mépris des autres
2/ que Laurent Jullier pose décidément de bonnes questions (que l'on soit totalement d'accord ou pas avec ses réponses).

posté le 17/04/2019 à 10h53

04/10/2014 - En accès libre - Qu'est-ce qu'un bon film ?

Nouvel abonné, je n'ai vu la vidéo que hier soir. Enfin j'ai arrêté à la moitié, trop agacé. Laurent Julllier n'a pas pu faire deux phrases complètes, étant systématiquement et longuement interrompu. J'ai lu son livre à sa sortie. Je me souviens qu'il pose de très bonnes questions et que j'avais révisé mes positions. Mais ici, tout est enterré, contredit avant même d'être exprimé, toutes les propos de L. Jullier sont ramenés par l'interviewer à des simplismes ( avec grand renfort de Kant et autre références à la grande cinéphilie française). Résultat, on dirait une dispute politique à la télé. Laurent Jullier a à peine eu le temps de dire qu'à l'origine de son livre, il y a une critique du "dégout des gouts des autres". Dégout parfaitement illustrée par l'interviewer qui exprime son dégout de l'opinion de son invité. Bien déçu.

posté le 12/04/2019 à 12h25